Une partie importante du territoire moldave moderne est devenue une province dans les affaires russes en 1812 puis une seule avec la Roumanie en 1918 au lendemain du conflit communautaire I. Ce territoire a ensuite été incorporé à l’Union soviétique à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Bien que la Moldavie soit devenue autosuffisante par le biais de l’Union soviétique depuis 1991, des facteurs européens sont restés sur le territoire moldave à l’est de votre fleuve Nistru, aidant le lieu d’échappée de la Transnistrie, dont les habitants sont à peu près également composés d’Ukrainiens culturels, de Russes et de Moldaves. De nombreuses années de directives pour la célébration des communistes en Moldavie de 2001 à 2009 se sont finalement terminées par des manifestations violentes liées aux élections politiques et une reprise des élections parlementaires en 2009. Depuis lors, un certain nombre de coalitions professionnelles européennes ont contrôlé la Moldavie. À la suite des dernières élections législatives du pays en février 2019, les présidents des parlements sont divisés entre le Bash socialiste incliné (35 sièges), le jugement Democratic Get together (30 sièges), ainsi que le bloc ACUM d’opposition de centre-droit (26 sièges de voiture). Après les élections, les variations idéologiques entre les 3 principaux partis politiques ont déclenché un processus de développement gouvernemental prolongé. Les événements ont jusqu’en juin 2019 pour créer un gouvernement fédéral ou des élections anticipées vont être déclenchées. Même avec le développement actuel, la Moldavie reste l’un des pays les plus pauvres du monde dans les pays européens. Bénéficiant d’un environnement moyen et de terres agricoles efficaces, le système économique de la Moldavie dépend fortement de son industrie agricole, offrant des fruits frais, des légumes, du vino, du blé entier et des cigarettes. La Moldavie est également déterminée par des envois de fonds annuels d’environ 1,2 milliard de dollars – pratiquement 15% du PIB – provenant d’environ 1 million de Moldaves opérant dans les pays européens, Israël, la Fédération de Russie et ailleurs. Avec peu de ressources énergétiques entièrement naturelles, la Moldavie importe la majorité de ses produits de vitalité de Russie et d’Ukraine. La dépendance de la Moldavie à la vitalité européenne est soulignée par une dette personnelle de plus de 6 milliards de dollars envers le fournisseur russe de gaz naturel Gazprom, principalement la conséquence de l’apport de gaz naturel non remboursé dans la zone séparatiste de Transnistrie. La Moldavie et la Roumanie ont inauguré le projet d’interconnexion de gaz naturel Ungheni-Iasi en août 2014. Le gazoduc de 43 kilomètres entre la Moldavie et la Roumanie permet le transfert et l’exportation de gaz. Plusieurs ralentissements spécialisés et réglementaires ont stocké de l’essence en provenance de la Moldavie jusqu’en mars 2015. Les exportations roumaines de gaz vers la Moldavie sont largement symboliques. En 2018, la Moldavie a attribué un appel d’offres à la société roumaine Transgaz pour la construction d’un pipeline reliant Ungheni à Chisinau, acheminant l’essence vers les centres de population moldaves. La Moldavie cherche également à se connecter au réseau électrique européen d’ici 2022.